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Webinaires à revoir

Refaire la France Replay dy débat aux Bernardins.

Sur l'Islam, débat entre Remi Brague et Ghaleb Bencheikh. Replay du débat aux Bernardins. Cliquer.

L'Islam et la liberté de conscience - Fondation de l'islam de France.
Si vous n'avez pas pu assister à ce Colloque en direct, il est visible en Replay sur la video de la Fondation de l'Islam de France ( cliquer )

Le Cri de la Paix, Religions et Cultures en dialogue, Rome 23 au 25 octobre 2022.
Avec Sant'Egidio. Autour de la guerre en Ukraine.
Video de l'Assemblée inaugurale, le 23 octobre 2022"
Frère Alois de Taizé : La prière comme source de paix. Cliquer.

- Vidéo de la conférence donnée le mercredi 17 novembre 2021 , animée par Mgr Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, et Mme Nayla Tabbara, présidente de la fondation libanaise Adyan et professeure à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth.

- Vidéo de l'hommage-prière interconvictionnelle pour les victimes de la pandémie par l'association Agir pour la Fraternité.Paris 15e (cliquer)

- Mardi 5 février 2021 : vidéo-conférence :Fondacio, La dimension spirituelle des enjeux actuels, regards croisés ; juif, catholique, musulmane"> Revoir la rencontre du 5 février.

Vidéo à revoir : Cultiver la paix avec Louis Massignon.

Voir tout les articles sur ce sujet.

Religions et conflitsDiscussions de la Coalition internationale pour la paix/


https://www.institutschiller.org/Savait-ou-aurait-du-savoir-les-dirigeants-tolerant-le-genocide-sont-prevenus?utm_source=brevo&utm_campaign=Dclaration_GnocideGaza&utm_medium=email



L'Institut Schiller vous invite à participer aux discutions de la coalition internationale pour la paix qui se réunit par internet tous les vendredi de 17h à 19h via zoom.

des personnes ou des organisations très diverses mais ayant pour point commun une seule et même conviction : si elle n'est pas stoppée au plus vite, la dynamique de guerre actuellement en cours en Ukraine et au Moyen-Orient porte le risque très réel d'un embrasement global pouvant dégénérer en un conflit nucléaire où il n'y aura aucun gagnant.

Ces rencontres rassemblent des participants de toutes religions ainsi que d'autres qui ne sont pas religieux. Y participent actuellement notamment des croyants juifs, musulmans et chrétiens, des responsables religieux engagés pour la paix dans un esprit de fraternité interreligieuse.



Pour plus de renseignements sur la Coalition internationale pour la paix, et pour optenir le lien zoom de connection, vous pouvez nous contacter au +33783342675 ou bien écrire à instschiller_france@institutschiller.org.

Ces rencontres sont traduites en simultané en français, italien, allemand, espagnol et anglais. Elle visent à rassembler differents mouvements et citoyens du monde entier pour échanger et agir ensemble pour la paix. L'idée est de permettre un dialogue sur des sujets urgents, au au-delà des désaccords qui peuvent exister entre les uns et les autres. Afin de favoriser une discussion libre, ces rencontres sont informelles et ne sont pas rendues publiques par la suite (sauf certaines parties avec l'autorisation des personnes concernées).

Elles commencent par quelques intervenants puis une discution est ouverte où chacun peut poser des questions, rapporter ses actions menées, faire des propositions d'action etc. (Interventions courtes).

La paix a besoin de nous !

Transmis le Fév 18, 2024 - 08:27 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsLe Conseil d’Églises chrétiennes en France, très inquiet devant l’escalade des tensions géopolitiques aux frontières de l’Ukraine, porte dans la prière toute la population ukrainienne.


Il encourage toutes les Églises à manifester concrètement leur solidarité pour les populations affectées et à prier pour la paix et la fin immédiate du conflit, inspiré par les mots de saint Paul : « C’est le Christ, en effet, qui est notre paix : de ce qui était divisé, il a fait une unité. Dans sa chair, il a détruit le mur de séparation : la haine. » (Eph. 2, 14)


Alors que les chrétiens se préparent à entrer en carême avant la lumineuse fête de la Résurrection du Christ, dans un esprit d’humilité et de repentir, nous prions pour que la paix céleste soit restaurée sur la terre et que les violences prennent fin immédiatement.


Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort Conférence des évêques de France


Le pasteur François Clavairoly Fédération protestante de France


Le métropolite Dimitrios Assemblée des évêques orthodoxes de France

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Transmis le Fév 27, 2022 - 09:32 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflits

Suite au communiqué de l'association « Les Imams de France » ( voir ci-contre ), Gérard LEROY, ancien secrétaire général de la CMRP, nous adresse le lien ci-dessous relatif aux exactions dont sont victimes plusieurs communautés religieuses en Afrique et au Moyen-Orient.
N'évoquez pas la Syrie ou l'Irak à la télévision... Il y a le Tour de France !

http://questionsenpartage.com/n%E2%80%99%C3%A9voquez-pas-syrie-l%E2%80%99irak-%C3%A0-t%C3%A9l%C3%A9vision-il-y-tour-france



Transmis le Août 07, 2014 - 05:25 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et LaïcitéLes créationnistes ? -------------- par Foudil BENABADJI

Bonjour Monsieur Ruffier,
Dans le quotidien "Le Dauphiné Libéré", de dimanche 7 octobre, j'ai été agréablement surpris par votre coup de gueule : "La guerre aux créationnistes est déclarée". Parfois les médias interprètent magistralement nos pensées, et dans ce cas je voudrais réagir sur ce petit texte qui me paraît important du fait de l'actualité. "Il faut redonner le gout de la sciences et la place de la raison dans notre société". Nous savons tous ce qui se passe à Lyon, mais plus près encore, à Grenoble. Les gens savent-ils ce que sont les créationnistes ?
Le Conseil de l'Europe nous indique dans sa résolution du 04 oct. 2007, qu'actuellement les créationnistes, essentiellement d’obédience chrétienne ou musulmane, investissent de plus en plus dans l’enseignement. Il y a de quoi nous faire réfléchir. Le Collège de France est intervenu et a affirmé son opposition aux créationnistes. Ce courant est très fort, il a ses origines sur le continent nord-américain, et il existe actuellement chez nous, en France. Ces mouvements évangélistes et musulmans, en petites minorités certes, montrent un prosélytisme exacerbé. Ce qu'ils écrivent relèvent de la falsification. La montée en puissance de ce mouvement, l'endoctrinement des enfants et son impact sur notre société sont réels. Il s'agirait de mettre sous contrôle encore plus étroit le système d'éducation, et parallèlement inciter au rejet de la science, phénomène qu'ils exploitent cyniquement depuis un quart de siècle pour de petits profits politiques. Ce systéme de croyance est sans équivalent dans notre société ou plus du tiers de la population croit déjà que « les êtres vivants existent sous leur forme actuelle depuis le commencement des temps » et soutient l'idée d'interdire l'enseignement de la théorie de l'évolution pour la remplacer par le créationnisme.
Il est vrai que la culture générale, qui doit ouvrir à l’universel, c’est-à-dire à la connaissance de notre commune humanité dans ses différentes composantes, s’appauvrit considérablement lorsqu’elle se trouve amputée de la dimension religieuse. La prise en compte, chez nous en France, du Fait Religieux dans l’enseignement apporte des clés de lecture en ce domaine et réalise une ouverture des esprits par des rencontres constructives dans la découverte de l'histoire de la religion (ou encore : sciences des religions), et les richesses culturelles de l’autre. Mais des blocages, on ne sait d'où ils viennent, se manifestent aprement.
Face à la progression des fondamentalismes et des communautarismes, cet enseignement de type critique et rationnel représente un enjeu considérable. L’étude critique des textes, la prise en compte des genres littéraires, la critique historique des documents, permettent de prémunir les esprits à l’égard de la crédulité et des lectures simplistes.
La nécessité de cette prise en compte du Fait Religieux dans l’enseignement scolaire a été réaffirmée à plusieurs reprises depuis le rapport Debray. "Enseigner le Fait Religieux", cela renvoie à la dimension culturelle a indiqué Lionel Jospin en 1980. L’enseignement du fait religieux est nécessairement pluraliste puisqu'il traite des différentes religions - et non confessionnel : il aborde les religions en tant que faits de civilisation a déclaré Jack Lang en présentant ce rapport Debray. Alors, que font les politiques, qu'est-ce qu'on attend pour que les associations et les administrations reçoivent un grand coup de pousse et encourager les initiatives dans ce domaine précis.
En tant qu'aumônier dans les prisons de la Savoie, je considère que je suis dans un laboratoire. J'ai expérimenté le Fait Religieux. C'est un autre domaine dans lequel je peux apporter mon témoignage. (Il faudra aussi se prémunir de tous les discours, celui du fondamentaliste en particulier qui vous dira qu'il lutte contre la drogue et l'alcool, qu'il est un adepte de la laïcité et qu'il respecte les lois de la République .???..). Je voudrais aussi avoir l'occasion d'aborder le Niqab et la Burka qui se développent surtout parmi les converties..?..
Avec mes excuses d'avoir été trop long.

Foudil BENABADJI Aumônier musulman de la Pénitentiaire
Administrateur de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix.
Association UFCM / ICMF et UDEA 06 64 80 60 01
www.memoire-mediterranee.com.


Transmis le Oct 15, 2012 - 08:38 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsRéactions à l'attaque dans la Cathédrale de Bagdad :

- Communiqué du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM)


- Homélie du Pape Benoît XVI, le jour de Toussaint (1er novembre 2010)


- Condamnation par le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur


- Communiqué de Mgr Santier, Président du Conseil pour les relations inter-religieuses de la conférence des Evêques de France.


- Communiqué du comité interreligieux de la famille franciscaine.


- Communiqué du Rassemblement des musulmans de France.


- Réaction de M. Foudil Benabadji, président de l’Union des Familles de Culture Musulmane, Administrateur de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix- France.



De nombreuses autres réactions ont été reçues, en particulier de divers groupes de dialogue interreligieux en France.

Transmis le Nov 06, 2010 - 11:55 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflits

LES BAHA'IS DE FRANCE

Communiqué

Iran :
Le procès des sept bahá'ís repoussé

Paris, le 17 août 2009 – Le procès des sept bahá’ís accusés d'espionnage et de blasphème en Iran a été repoussé au 18 octobre, à la demande de leurs avocats Me Hadi Elsmailzadeh et Me Mahnaz Parakand.

Ces deux avocats du Centre des droits de l'Homme de Téhéran ont dû prendre en charge la défense des sept accusés en urgence, alors que Me Abdolfattah Soltani, du Centre des droits de l'Homme de Téhéran, est lui même incarcéré depuis le mois de juin, et Me Shirin Ebadi, prix Nobel de la Paix, n'est pas rentrée en Iran depuis le début des troubles.

Les accusés sont cinq hommes et deux femmes. Les journaux proches du pouvoir les accusent d'«espionnage pour Israël, offense au caractère sacré de la religion, et propagande contre la République islamique». Les familles ont été oralement averties d'une charge supplémentaire : «propagation de la corruption sur terre» («Mofsed fel arz»). Ces charges sont passibles de la peine de mort.

Pour Amnesty International, qui a lancé une action urgente en leur faveur, ils sont des «prisonniers d’opinion, détenus uniquement en raison de leurs convictions et de leurs activités en faveur de la communauté baha’ie».

Les bahá'ís de France espèrent que ce nouveau développement traduise une réelle volonté de la part des autorités iraniennes de respecter les droits de la défense de ces sept prisonniers. Un signe encourageant en ce sens serait leur libération sous caution.

Une trentaine de bahá'ís sont aujourd'hui détenus en Iran, tous en raison de leurs seules convictions. Ils sont considérés comme des «infidèles non-protégés». Cette minorité religieuse –la première minorité non-musulmane du pays – est qualifiée d' «organisation illégale», et les journaux officiels la nomment le plus souvent «la perverse secte bahá'íe».
Contact : Silène Martino – Tél. 06 23 16 70 82 – silene.martino@gmail.com


Transmis le Août 18, 2009 - 07:49 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsCommuniqué des bahá'ís de France - 13 août 2009



Iran



Les sept bahá'ís accusés d'espionnage jugés mardi, leur avocat incarcéré




Sept bahá'ís, détenus depuis plus d'un an à la section 209 de la prison d'Evine de Téhéran, qui encourent la peine de mort, doivent être jugés mardi prochain. Pourtant, au mépris des règles juridiques, leurs avocats ne pourront pas les défendre : Me Abdolfattah Soltani, du Centre des droits de l'Homme de Téhéran (fermé par les autorités en décembre dernier), est lui même incarcéré depuis le 16 juin, et Me Shirin Ebadi, prix Nobel de la Paix, n'est pas rentrée en Iran depuis le début des troubles.



Semblant ignorer l'incarcération de Me Soltani, les autorités judiciaires iraniennes lui ont adressé un courrier lui demandant de se présenter au procès de ses clients le 18 août à 9 heures.



Les accusés sont cinq hommes et deux femmes, âgés de 37 à 76 ans. On les appelle les «Yaran», les «amis» : ils étaient les administrateurs de la communauté bahá'íe d'Iran, un groupe ad hoc constitué en l'absence de structures élues, dissoutes par le régime après la Révolution de 1979.



Les journaux officiels iraniens indiquent que les «Yaran» sont accusés d'«espionnage pour Israël, offense au caractère sacré de la religion, et propagande contre la République islamique». Les familles ont été oralement averties d'une charge supplémentaire : «propagation de la corruption sur terre» («Mofsed fel arz»). Ces charges, bien entendu infondées, sont passibles de la peine de mort. Me Shirin Ebadi, qui avait accepté de défendre les sept accusés malgré les menaces et les intimidations, n'a jamais pu les rencontrer.



Pour Amnesty International, qui a lancé une action urgente en leur faveur, les sept «Yaran», ainsi que leur avocat, sont des «prisonniers de conscience».



Une trentaine de bahá'ís sont aujourd'hui détenus en Iran, tous en raison de leurs seules convictions. Depuis trente ans, ils sont considérés comme des«infidèles non protégés». Cette minorité religieuse -la première du pays, si on excepte les musulmans sunnites- est qualifiée d' «organisation illégale», et les journaux officiels la nomment le plus souvent «la perverse secte bahá'íe».



Les bahá'ís, déjà persécutés à des degrés divers sous le précédent régime, vivent en sous-citoyens dans leur pays depuis l'avènement de la République islamique en 1979. Ils sont privés d'études supérieures, et d'accès à la fonction publique. Il suffit d'être bahá'í pour voir ses biens confisqués, être privé de retraite, interdit de prêt bancaire, ou licencié. A l'école on encourage les enseignants à humilier en public les enfants bahá'ís. Des centaines de cimetières bahá'ís ont été profanés et rasés. Les citoyens qui s'attaquent aux bahá'ís ne sont pas inquiétés.



Plus de 200 bahá'ís, dont deux mineurs, ont été exécutés par le régime depuis 1979.





contact :

presse@bahai.fr

Silène ALMERAS MARTINO - tel. portable 06 23 16 70 82

Foad SABERAN - saberan@orange.fr


Transmis le Août 13, 2009 - 11:15 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsIsraël-Palestine 17 mai 2009
Par Laurent Klein


Réfléchir aux perspectives de sortie de crise en Terre Sainte depuis Paris est un drôle d’exercice ! Comment, lorsque l’on n’a aucune influence politique, aider à résoudre ce conflit ? Quelle contribution apporter pour aider Israéliens et Palestiniens à sortir de l’ornière ?
Pour celui qui n’est pas indifférent à ce sujet, il me semble que la priorité est de se demander : « Que sais-je faire qui me permette d’œuvrer dans le sens de la paix ? » Et œuvrer dans le sens de la paix implique un engagement pour les deux parties en souffrance, Israéliens et Palestiniens. Bien sûr, chacun peut avoir en son cœur un faible en faveur de l’un des deux peuples. Bien sûr, par moments, chacun peut ressentir un grand découragement et se laisser aller à un soutien unilatéral. Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue qu’une solution juste ne pourra être acquise qu’au prix de renoncements des deux protagonistes, et ceci au bénéfice de ces mêmes deux protagonistes.


Transmis le Juin 12, 2009 - 12:21 AM Suite du texte (11661 octets de plus) Envoyez cette article à un ami Format imprimable
WCRP - International

WCRP - Déclaration sur l’essai nucléaire nord-coréen
28 mai 2009

Dr. William F. Vendley, secrétaire général


Le récent essai nucléaire de la Corée du Nord préoccupe gravement les croyants et toutes les personnes de bonne volonté dans le monde entier.

Les armes nucléaires sont essentiellement destructrices de la vie humaine et de l’écosystème mondial dont toute vie dépend. L’argument de la religion quant à leur immoralité foncière va de soi. Les diverses traditions religieuses reconnaissent, chacune à sa manière, que la vie trouve son origine ultime dans une source divine. Il s’ensuit que pour les hommes et les femmes de religion, détruire volontairement la vie humaine et l’écosystème qui la rend possible est attaquer violemment leur origine divine. L’armement nucléaire est immoral en soi car il menace la vie elle-même.

Pour empêcher que les armes nucléaires se répandent, le monde doit les rejeter universellement. Cela signifie qu’aucun nouvel Etat ne doit s’en doter, et que ceux qui les possèdent doivent collaborer pour en réduire les stocks et finalement les éliminer.

Les fidèles de différentes religions dans le monde appellent les responsables de la Corée du Nord, des Etats possédant l’arme nucléaire et des autres parties en cause à coopérer en vue de résoudre toutes les questions que pose l’application par la Corée du Nord du traité sur l’interdiction des essais nucléaires.

Depuis quarante ans, le Conseil mondial de Religions pour la Paix milite pour un monde libéré de l’arme nucléaire en affirmant : « Nous reconnaissons le devoir sacré de promouvoir et de préserver la plénitude de la vie, et nous prions pour que soient donnés la sagesse et le courage d’en finir avec ces instruments de destruction totale. »

Il y a deux semaines, Religions pour la Paix a participé aux Nations Unies à New York aux réunions préparatoires positives et constructives tenues dans le cadre du traité de non-prolifération. L’essai nucléaire récent en Corée du Nord souligne que ces efforts sont plus urgents et plus nécessaires que jamais.


Transmis le Juin 02, 2009 - 02:55 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Vivre ensemble
MEDITATION LAÏQUE / ENRICHIS PAR LA DIVERSITE
Par Kudrat Singh

On donne souvent aux nouveaux venus à la méditation l'instructions suivante que la tradition populaire attribue par ailleurs au Bouddha : "Ajuste ta pratique comme tu tends les cordes de ta cièle ! Pas assez, elles ne joueront pas; trop, elles casseront !"

Transmis le Avr 28, 2009 - 08:43 PM Suite du texte (3195 octets de plus) Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflits


Communique from Israeli and Palestinian Youth

EMERGENCY CONSULTATION
OF ISRAELI AND PALESTINIAN RELIGIOUS YOUTH
COMMUNIQUÉ
21 JANUARY 2009 | PARIS, FRANCE



Four Israeli and four Palestinian youth leaders—Christian, Jewish, and Muslim—from East and West Jerusalem, gathered in Paris to discuss the current challenges, discern shared concerns and develop common action. The consultation was organized by Religions for Peace, the world’s largest and most representative multi-religious coalition.

The consultation began with reflections on the impact of the war in Gaza and Southern Israel. Participants engaged in honest and open exchange of their personal sentiments, pain, fear, and hope.

On the second day, Israelis and Palestinians first met separately to discuss their respective challenges and concerns, followed by a joint session in which contentious issues, including root causes of the present conflict, were raised in a spirit of honesty and trust. There were painful moments when participants found fundamental differences in their respective understandings of the causes of the current conflict. Despite such difficulties, participants kept their courage and commitment to dialogue and listened to different perspectives.

The consultation was supported by Religions for Peace Global Youth Network members on six continents through prayer and simultaneous actions. Among many actions in solidarity were the presentation by a youth delegation from Religions for Peace Japan of 1,600 messages of peace and support from Japanese religious youth leaders, and the European Interfaith Youth Network’s initiatives in support of Israeli and Palestinian youth. The participants felt enriched and inspired by such insights from an international context, which contributed to the mutual learning experience. Participants also appreciated the warm and generous welcome provided by the Religions for Peace French chapter.

The Israeli and Palestinian youth leaders expressed their commitment to continue dialogue around shared concerns and to develop a plan of action in Jerusalem through broadening the circle of dialogue between the two peoples.




Transmis le Avr 28, 2009 - 12:23 AM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsDéclaration du Secrétaire général
Protéger les innocents au Sri Lanka

20 avril 2009


Cent cinquante mille civiles sont en sérieux danger, pris au piège entre les militaires gouvernementaux et les forces des Tigres de la Libération de l’Eelam Tamil, sur une étroite bande de terre au Sri Lanka. Les lieux où ils vivent sont bombardées par l’armée sri-lankaise, et les Tigres tamoul se servent d’eux comme de boucliers humains.

Des photos aériennes prises ce matin montrent des milliers de gens s’efforçant de quitter la zone des combats tandis que des dizaines de milliers restent sur place. Le Groupe international des crises et d’autres organisations dignes de foi font savoir que les populations encore prises au piège souffrent d’une grave pénurie d’eau, de denrées alimentaires et de soins médicaux.

Le gouvernement et les Tigres tamoul sont responsables de la protection des civils innocents. Deux mesures d’urgence doivent être prises.

Le gouvernement sri-lankais doit stopper son offensive et accepter une trêve humanitaire sous le contrôle des Nations unies et du Comité international de la Croix-Rouge pour rendre possibles les secours et la mise en place d’un corridor humanitaire permettant aux civils innocents d’évacuer les lieux. Les Tigres tamoul doivent immédiatement permettre aux civils de quitter la zone et cesser les recrutements forcés. Le droit humanitaire international doit être respecté par les deux parties. Le fait que l’une d’elles ne l’observe pas ne donne pas à l’autre le droit de nuire aux innocents ni de ne pas les protéger.

Le Conseil de sécurité des Nations unies, d’autres organisations internationales et les pays en relations avec le Sri Lanka doivent faire usage d’urgence de tous les moyens à leur disposition pour assurer la protection des innocents.

Religions pour la Paix Sri Lanka travaille avec des responsables des communautés bouddhiste, hindouiste, chrétienne et musulmane pour soutenir leur coopération en vue de la paix. Ces communautés ont un héritage moral très fort et des membres qui peuvent aider à construire un climat de paix après qu’on se sera occupé de cette crise humanitaire.

Dr. William F. Vendley
Secrétaire Général


Transmis le Avr 21, 2009 - 12:48 AM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Religions et conflitsContact:
Ms. Andrea Louie, Religions for Peace
New York, USA
Tel: (+1) 212-687-2163
alouie@wcrp.org

Communiqué de presse.


Le Conseil de Religions pour la Paix du Proche Orient et de l’Afrique du Nord
demande que le processus de paix en Terre Sainte prenne un vigoureux nouveau départ.

Le Conseil adresse cet appel aux chefs d’Etat, aux Nations Unies, à la Ligue arabe, et à l’Organisation des Etats islamiques—


(New York, 1er avril 2009)— Le Conseil de Religions pour la Paix pour le Proche Orient et l’Afrique du Nord, organe régional de l’organisation pluri-religieuse mondiale la plus grande et la plus représentative, a lancé aujourd’hui un appel à la reprise du processus de paix en Terre Sainte, y compris un encouragement à l’engagement des hauts responsables religieux à la recherche de la paix, l’octroi d’une aide humanitaire à Gaza, le respect des élections démocratiques dans la région et la sauvegarde de Jérusalem comme ville sainte accessible à tous les croyants.
Vingt membres du Conseil de Religions pour la Paix pour le Proche Orient et l’Afrique du Nord – musulmans, chrétiens et juifs – se sont réunis à Istanbul les 2 et 3 avril. Ils ont prié le Dr. William F. Vendley, secrétaire général de Religions pour la Paix de faire parvenir cet appel dans une lettre adressée au nom du Conseil aux Nations Unies, aux Quatuor sur le Proche Orient dans le cadre des Nations Unies, à la Ligue arabe, à l’Organisation des Etats islamiques, à S. M. le roi Abdullah d’Arabie saoudite, gardien des deux mosquées sacrées, et au président des Etats Unis Barack Hussein Obama.
« Nous partageons votre profond souci de la paix en Terre Sainte » ont déclaré les responsables religieux. « Nous avons en horreur les grandes souffrances de tant d’innocents dans nos pays. La violence et les destructions terribles de la guerre récente à Gaza rendent urgent notre désir de travailler ensemble à établir une paix réelle fondée sur la justice et le droit international, capable d’assurer la sécurité à tous. »
Dans leur lettre, ces hautes personnalités religieuses pressent les responsables politiques d’aider à ce que :

1 – « le processus de paix prenne un vigoureux nouveau départ. En particulier, nous [les responsables religieux] avons pris note des efforts que représente l’initiative de paix arabe, de ceux du Quatuor sur le Proche Orient des Nations Unies et des possibilités qu’ouvre la nouvelle Administration des Etats Unis. Toutes les voies doivent être utilisées pour que reprenne un processus de paix entièrement sérieux et soutenu.

2 – « les responsables religieux s’engagent dans la recherche de la paix. Nous sommes des responsables religieux, non des politiciens. Nous réclamons des efforts politiques audacieux et honnêtes conçus de manière à réaliser la paix dans la justice. Nous n’en sommes pas moins convaincus qu’il n’y aura pas de paix réelle sans un engagement adéquat des leaders religieux de Terre Sainte. Nous demandons à être engagés de manière appropriée, et consultés formellement sur les questions relatives à la religion, aux lieux saints et à la liberté du culte.

3 – « les besoins humanitaires de la population de Gaza soient traités d’urgence et le siège levé. Nous demandons que l’aide nécessaire de façon critique soit fournie immédiatement et que la reconstruction commence sans délai.

4 – « les élections démocratiques et les processus politiques internes soient respectés. Nous estimons que les processus démocratiques dans la région doivent être respectés et reconnus par toutes les parties et par la communauté internationale.

5 – « que soit préservé le statut de Jérusalem comme une ville sainte accessible à tous les croyants, particulièrement ceux qui vient en Terre Sainte. Le statut politique définitif de Jérusalem devra être décidé en conformité des dispositions du droit international et des résolutions pertinentes des Nations Unies.
« Nous avons adopté la notion de "sécurité partagée" qui témoigne du fait que la sécurité et le bien-être à la fois des Israéliens et des Palestiniens sont dans un rapport étroit et réciproque » ont dit les responsables religieux. « Il faut que soit initié un processus de paix soutenu, fondé sur le droit international, qui mettra un terme à l’occupation et établira une paix juste, garantissant la sécurité et l’épanouissement à la fois des Palestiniens et des Israéliens. »
Le Conseil de Religions pour la Paix pour le Proche Orient et l’Afrique du Nord rassemble des responsables religieux de haut niveau qui représentent les principales communautés de croyants de la région et qui se sont engagés à travailler ensemble par le dialogue et par l’action à la paix avec la justice dans cette partie du monde.

Religions for Peace is the world’s largest and most representative multi-religious coalition advancing common action for peace since 1970. Headquartered in New York and accredited to the United Nations, Religions for Peace works through affiliated inter-religious councils in 70 countries in six continents.



Transmis le Avr 14, 2009 - 11:53 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable
Vivre ensemblePour information :
Engagement de religieux à un travail en commun pour servir les intérêts des plus démunis...

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In a letter issued in advance of the G20 meeting in London, political
leaders are called upon to consider the moral issues at the root of
the current financial crisis, and to pay special attention to the
needs of poor, marginalised and vulnerable people: "to forget their
needs would be to compound regrettable past failures with needless
future injustices".

Attention is drawn to promises made by the international community in
"easier times - which now risk being -postponed by the pressing concern
to rectify market failures ".

"Even in these difficult times we strongly urge the leaders of the G20
to hold fast to the commitments they have made to the world's poorest
people," says the statement.

Recognising that people "who have lost jobs, savings, or homes, are in
need of immediate help" the statement stresses the need for the G20 to
fulfill its promises to the poor, citing World Bank figures that "53
million more people could fall into absolute poverty " as a result of
the world financial crisis, the faith leaders" hope was that "poorer
countries would be allowed to trade their way to prosperity".

The text of the letter reads:

"We write as religious leaders who share a belief in God and the
dignity of human life. We wish to acknowledge with realism and
humility the severity of the current economic crisis and the sheer
complexity of the global and local challenge faced by political
leaders. We pray for the leaders of the G20 as they prepare to meet in
London this week. They, and we, have a crucial role to play in
recovering that lost sense of balance between the requirements of
market mechanisms that help deliver increased prosperity, and the
moral requirement to safeguard human dignity, regardless of economic
or social category.

Many people are suffering as a result of the economic crisis. The
World Bank estimates that 53 million more people could fall into
absolute poverty as a result of the crisis. The likelihood is that
more will face significant hardship before it comes to an end, and
those who are already poor suffer the most. Along with the leaders of
the G20 we all have a duty to look at the faces of the poor around the
world and to act with justice, to think with compassion, and to look
with hope to a sustainable vision of the future.

We wish therefore to draw attention to some of the promises made by
the international community in recent times - with our wholehearted
support - that risk being postponed by the pressing concern to rectify
market failures. We need to be properly conscious that all communities
include, and must pay special attention to the needs of, poor,
marginalised and vulnerable people. To forget their needs would be to
compound regrettable past failures with needless future injustices.

Some aspects of this crisis will require technical economic solutions.
However those solutions alone will not be enough to address all the
questions that we face. At the roots of this crisis lie important
moral issues.

We are concerned for people and the work they do. We believe there is
a need to consider the aspirations of both rich and poor; to examine
our own expectations and how realistic they are; and to root future
global patterns of work in our understanding of human dignity. We
recognize that people who have lost jobs, savings, or homes, or who
now live with the worry of what the future might bring are in need of
immediate help. Their hope is for sustainable employment and not
continuing job insecurity.

The international community has made important commitments to the
developing world. The Millennium Development Goals are of fundamental
importance and cannot now be forgotten. Even in these difficult times
we strongly urge the leaders of the G20 to hold fast to the
commitments they have made to the world's poorest people. We still
need to find ways to enable poorer countries to trade their way to
prosperity. We hold that promises made to the poor are especially
sacred.

When we spend now, we have to pay later. This also applies when we use
up the resources of the natural environment. Morally binding
commitments to cut carbon emissions and so to slow the devastating
effects of man-made climate change have been made in recent years.
They should not be forgotten or postponed. We call on the whole of the
international community to hold firm to commitments already made. Most
recognise that even more radical commitments will need to be agreed in
the near future.

The leaders of the G20 countries are concerned to recover stability in
the global economy. We support those efforts. And we pray that as they
deliberate they will be mindful of the need to protect the vulnerable
from unintended injustice and to respect the commitments they made in
easier times.

Dr Musharraf Hussain Azhari
Chief Imam and Executive Officer, Karimia Institute
Chair, Christian-Muslim Forum
Dr Mohammed Abdul Bari
Secretary General of the Muslim Council of Britain
Rabbi Dr Tony Bayfield
Head, Movement for Reform Judaism
Dr Girdhari Bhan
President, Vishwa Hindu Parishad (UK)
Mr Anil Bhanot
General Secretary, Hindu Council UK
Mr Steve Clifford
General Director, Evangelical Alliance
Mr Khurshid Drabu
Project Director, Mosques and Imams National Advisory Board, UK (MINAB)
Mr Henry Grunwald
President, Board of Deputies of British Jews
Bishop Nathan Hovhannisian
Primate, Armenian Orthodox Church of Great Britain
Mr Sanjay Jagatia
Secretary-General, National Council of Hindu Temples UK (NCHT)
The Most Revd Dr Idris Jones
Bishop of Glasgow and Galloway
Primus, Scottish Episcopal Church
Mr Ramesh Kallidai
General Secretary, Hindu Forum of Britain
Sayyed Nadeem Kazmi
Founder & Director, The Britslam Partnership.
Commissioner Elizabeth Matear
Moderator of the Free Churches Group
Ayatollah Sayyid Fazel Milani
Al-Khoei Foundation
Shaykh Ibrahim Mogra
Chairman, Religions for Peace, UK
The Most Revd Barry Morgan
Bishop of Llandaff,
Archbishop, The Church in Wales
His Eminence Cormac Cardinal Murphy-O'Connor
Archbishop of Westminster, President of the Catholic Bishops'
Conference of England and Wales
National Spiritual Assembly of the Bahá'ís of the UK
Mrs Ravinder Kaur Nijjar
Sikh Community, Scotland
His Eminence Keith Patrick Cardinal O'Brien
Archbishop of St Andrews and Edinburgh, President of the Scottish
Catholic Bishops' Conference
Mr Jitu Patel
Chairman, Baps Swaminarayan Sanstha
Rabbi Danny Rich
Chief Executive, Liberal Judaism
Dr Nawal Prinja and the Rt Revd Tom Butler
Sir Jonathan Sacks
Chief Rabbi of the United Hebrew Congregations of the Commonwealth
Venerable Bogoda Seelawimala Nayaka Thera
Sangha Nayaka of Great Britain
Head of the Sri Lankan Sangha Sabha of Great Britain
Head of the London Buddhist Vihara
The Most Revd & Rt Hon Dr. John Sentamu
The Archbishop of York
Dr Indarjit Singh, CBE
Director, Network of Sikh Organisations UK
Dr Natubhai Shah MBBS, PhD
Chair, Jain Network
Sir Sigmund Sternberg, KCSG
Co-Founder, Three Faiths Forum,
Senior Advisor, Community of Religious Leaders, World Economic Forum,
Patron, International Council of Christians and Jews,
Vice President, World Congress of Faiths
The Most Revd and Rt Hon Dr. Rowan Williams
The Archbishop of Canterbury

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Transmis le Avr 05, 2009 - 07:44 PM Envoyez cette article à un ami Format imprimable